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Sport Break, c’est l’entreprise dont nous vous parlions dans un précédent article. C’est cette société qui en 2017 a révolutionné le sport dans le bassin méditerranéen en important un concept japonais futuriste : le sport connecté. Du ski en passant par l’escalade, une multitude de sports sont disponibles et surtout, plus vrais que nature. Pourtant, comme pour beaucoup d’entreprises un événement imprévu est venu mettre à mal les performances de cette start-up qui pourtant cartonnait depuis ses débuts.

L’impact du Covid sur Sport Break

Après un démarrage sur des chapeaux de roues en 2017 pour ce complexe de loisirs de plus de 2000 m2, rien ne semblait pouvoir entacher le succès de Sport Break qui songeait d’ailleurs à développer une franchise. Pourtant, comme pour bon nombre d’entreprises, le Covid-19 a mis à mal le taux d’occupation de Sport Break, déjà plus faible en saison estivale qu’hivernale. Après 3 mois de fermeture et un chiffre d’affaires divisé par deux, l’avenir du temple du sport connecté était plus qu’incertain. C’est pourquoi, pour redonner du souffle à leur projet, toute l’équipe de Sport Break a décidé de passer par le financement participatif via KissKissBankBank dans l’espoir de sauver le complexe de loisirs. Leur objectif ? tenir jusqu’à fin 2020 avant de se relancer en 2021. 

https://www.youtube.com/watch?v=saWiTM9583A

Un objectif atteint à 168 %

Le crowdfunding, ou financement participatif permet de réunir de grosses sommes grâce à de «  petits » investissements individuels pouvant démarrer à partir de 1 €. Ce qui compte donc quand on souhaite passer par ce type de financement, c’est d’être bien entouré et d’être capable de se constituer un solide réseau de supporters et d’investisseurs. Une mission que Sport Break a mené avec brio, puisqu’ils ont presque doublé leur objectif initial en levant 13 470 € sur les 8 000 € attendus. Une nouvelle qui fait chaud au cœur. 

En réunissant 73 contributeurs fidèles depuis la naissance de Sport Break ou simplement sensibles à leur baisse d’activité, l’entreprise Baillarguoise s’assure de tenir jusqu’à fin 2020 et plus encore.